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13 mars 2018 | Patricia PAISANT

Comment bien reprendre son activité sportive après une grossesse. Les apports à surveiller !

Thème : Sportif, besoins spécifiques Lereca

sport et grossesse :

La grossesse est un moment privilégié dans la vie d’une femme. Cependant, cette période suivie de l’accouchement a soumis;l’organisme à de nombreux bouleversements qui peuvent altérer la bonne reprise sportive. Voici quelques conseils pour toutes celles qui souhaitent reprendre leur pratique dans les meilleures conditions.

Le constat micronutritionnel dans la population, fait apparaitre qu’environ 25% des femmes arrivent au moment de la conception avec des apports micronutritionnels inférieurs aux apports recommandés. De plus, La grossesse augmente les besoins en micronutriments (minéraux, vitamines, acides gras,acides aminés…).Pour cette raison les compléments alimentaires seront proposés.

Il est donc essentiel d’aborder ce sujet dès le début de la grossesse afin de passer cette période en pleine forme et de faciliter sa reprise d’activité physique.

La carence en Fer :

Il s’agit de la déficience nutritionnelle la plus fréquente dans le monde. Elle peut concerner toute la population :  les nourrissons, les enfants, les adolescents, mais aussi très fréquemment  les femmes et plus particulièrement celles en âge de procréer, les femmes allaitantes et les sportives.

Indispensable à de nombreuses fonctions biologiques, le fer existe en faible quantité dans le corps.

L’organisme adulte d’une femme en contient environ 3,5 g. C’est grâce au fer que les cellules de l’organisme, et en particulier les cellules musculaires, sont correctement ravitaillées en oxygène. Il est indispensable dans toutes les activités respiratoires et énergétiques cellulaires donc bien évidemment essentiel pour l’activité sportive.

Selon plusieurs études mesurant le statut en fer dans la population, il apparaît que la carence en fer, touche une grande partie de la population : Les femmes : 67% des femmes enceintes et 22%des femmes en âge de procréer. Selon l’étude Val de Marne, les apports en fer varient de 9 à 10 mg chez les femmes alors que les VNR (valeurs nutritionnelles de référence) recommandent 16 mg/j. C’est ainsi que 90 % des femmes en âge de procréer, ne reçoivent pas les apports conseillés en fer !

Ce phénomène est majoré chez la sportive. En effet, les athlètes ayant une dépense énergétique forte et ceux pratiquant des disciplines de longue durée sont quasi tous déficitaires en fer. Ces déficits en ferritine sont en corrélation avec la hausse des pertes par hémolyse mécanique des globules rouges, la transpiration,les hémorragies digestives et donc la mauvaise absorption, les insuffisances d’apport. Chez la sportive, il est conseillé de prévenir ces anémies

par une alimentation adaptée et une supplémentation en fer à faible dose et de

façon discontinue avec du fer sous forme de complément alimentaire FER LERECA®. Cette forme est bien tolérée et ne donne pas de selles noires et de constipation.

 

La vitamine D :

 

En premier lieu, il est important de considérer la vitamine D comme un nutriment essentiel car sa production cutanée n’est pas suffisante pour assurer les besoins de l’organisme. Les apports nutritionnels conseillés sont encore plus difficiles à évaluer que pour les autres vitamines car son origine est double :

alimentaire et synthèse endogène par la peau .

 En France, 80 % de la population présente un déficit en vitamine D, plus ou moins important Cette vitamine est indispensable à de nombreuses fonctions biologiques de notre organisme et pas seulement à l’absorption du Calcium. La vitamine D a de multiples vertus et la liste des effets extra-osseux potentiels est longue  comme par exemple l’immunité, la prévention des infections respiratoires,  le tonus musculaire, la prévention de certains cancers…

Les athlètes ne doivent pas négliger cette supplémentation afin de maintenir leur statut en vitamine D, adapté à leurs besoins musculaires, immunitaires et osseux. LERECA VITAMINE D3. On soulignera, le déficit plus marqué en vitamine D dans la population noire car la pigmentation de la peau diminue la synthèse cutanée. Les athlètes pratiquant un sport en salle, sont aussi plus à risque de déficit.

 

Les graisses et les acides gras oméga 3 :

Une quantité suffisante de graisses : mono-insaturées sous forme d’huile d’olive, d’oméga 3 (huiles de poissons, huile de noix) et une faible quantité de graisse saturée est utile au sportif d’endurance. Les oméga 3 augmentent l'endurance du sportif.

Or la grossesse consomme beaucoup d’acide gras Oméga 3. En effet, les Oméga 3 participent au développement et au fonctionnement du cerveau et des sens du foetus et du jeune enfant.

A partir du troisième trimestre, une quantité élevée de DHA est transportée vers le fœtus, par le placenta.

A partir du second trimestre de la grossesse, la réserve de DHA chez la mère diminue. Le nourrisson absorbe environ 60-70 mg de DHA par jour pendant l’allaitement, la réserve de DHA de la mère reste relativement basse.

Cette éventuelle carence en DHA chez la mère augmente les risques d’une dépression postnatale.

Une supplémentation en acide gras Oméga 3 (EPA ET DHA) encadrera la grossesse et l’allaitement, tout en participant au bien être du bébé et de la maman. OMEGA 3 marins.

 

Le Magnésium :

Pendant la grossesse les besoins en Magnésium et en certains minéraux sont majorés. Durant cette période, le statut en magnésium diminue progressivement pour, au dernier trimestre, atteindre les valeurs les plus basses. Ces valeurs remontent après l'accouchement.

 L'étude Suvimax, nous a montré que la population française présentait des déficits en Magnésium et plus encore chez les femmes. Cette différence d'apport est liée à la ration alimentaire, souvent plus basse que chez les hommes.Pendant la grossesse, l'élimination du magnésium serait plus importante en  réponse à des modifications physiologiques comme : le débit cardiaque, le volume sanguin ...
De plus l'enfant capte du magnésium et à terme, le nouveau-né contient 1g de magnésium. Les apports nutritionnels conseillés soit 6 mg/kg doivent donc être couverts par une alimentation adéquate riche en fruits et légumes secs,céréales entières, eaux minérales riches en magnésium ... mais aussi être augmentés de 40 à 120 mg durant toute la grossesse et pendant l'allaitement avec des compléments alimentaires de magnesium.

Rappelons que le magnésium participe à des fonctions essentielles et notamment joue un rôle dans le processus de divisions cellulaires, du fonctionnemen tnormal du système nerveux et des fonctions musculaires, de l'ossature ...

La grossesse ayant modifié l’équilibre acide base, mais aussi épuisé l'organisme,  la forme MAGNESIUM MALATE sera particulièrement adaptée à la reprise d’activité car il participe aussi à l’équilibre acido basique et énergétique.

 

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