Ferritine : à partir de quel taux faut-il s’inquiéter ?
Thème : Déficits et carences en nutriments
Ferritine : à partir de quel taux faut-il s’inquiéter ? | LERECA
La ferritine est une protéine essentielle à notre santé, car elle reflète les réserves de fer dans l’organisme. Une carence ou un excès peut avoir des conséquences notables sur l’énergie, l’immunité, ou encore les fonctions cognitives. Mais à partir de quel taux de ferritine faut-il réellement s’inquiéter ? Et comment optimiser l’absorption du fer ? Faisons le point.
Qu’est-ce que la ferritine ?
La ferritine est une protéine intracellulaire qui stocke le fer sous une forme non toxique. Elle se trouve dans le foie, la moelle osseuse, la rate et les muscles, mais aussi en petite quantité dans le sang. Lorsqu’on mesure la ferritine sérique, on évalue donc indirectement les réserves en fer de l’organisme.
Taux de ferritine : les seuils à connaître
Les taux de référence peuvent varier selon les laboratoires, mais en général :
- Femmes adultes : entre 15 et 150 ng/mL
- Hommes adultes : entre 30 et 300 ng/mL
On considère qu’il faut s’inquiéter d’une carence lorsque :
- Le taux est inférieur à 30 ng/mL : cela peut signaler un début de carence martiale.
- En dessous de 15 ng/mL, la carence est considérée comme sévère.
À l'inverse, un excès de ferritine (supérieur à 300 ng/mL chez l'homme, 200 ng/mL chez la femme) peut aussi être préoccupant, notamment en cas de pathologies inflammatoires chroniques, de surcharge en fer ou d’atteinte hépatique (ex. : hémochromatose).
Ferritine basse : faut-il s’inquiéter sans anémie ?
Oui, une ferritine basse peut être symptomatique, même si l’hémoglobine est encore normale. Parmi les signes possibles :
- Fatigue persistante
- Essoufflement à l’effort
- Ongles cassants, chute de cheveux
- Sensation de jambes lourdes ou douleurs musculaires
- Irritabilité ou baisse de concentration
Le rôle du foie et de l’intestin dans le métabolisme du fer
Le foie est l’organe principal de stockage de la ferritine. C’est aussi lui qui régule le métabolisme du fer via l’hépcidine, une hormone qui contrôle l’absorption intestinale. En cas d’inflammation hépatique ou de déséquilibre métabolique, le stockage ou la libération du fer peut être perturbé.
L’intestin grêle, en particulier le duodénum, est le lieu d’absorption du fer. Un microbiote déséquilibré, une inflammation chronique (maladie cœliaque, SIBO, etc.) ou un pH digestif inadéquat peuvent altérer cette absorption.
Faut-il se supplémenter ? Et comment ?
La supplémentation en fer ne doit jamais être systématique. Elle doit se faire après bilan sanguin, pour éviter le risque de surcharge en fer. Le choix du type de fer et de sa biodisponibilité est également fondamental.
LERECA Fer : une approche naturelle et complète
Le Fer LERECA se distingue par une formule physiologique respectueuse du microbiote et de l’absorption intestinale. Il contient :
- Du fer naturel, bien toléré par sa fixation sur acides aminés (chélation), qui ne constipe pas
- Des probiotiques, pour soutenir la flore intestinale et améliorer l’absorption
- Des cofacteurs essentiels :
- Cuivre, indispensable au transport du fer
- Vitamine C issue du persil, pour booster l’assimilation
- Vitamine B9, impliquée dans la production des globules rouges
Cette synergie permet une meilleure tolérance digestive et une efficacité renforcée, notamment chez les personnes avec un terrain digestif fragile ou un foie surchargé.
à savoir sur la supplémentation en fer
La ferritine est un excellent marqueur des réserves en fer. Il est important de ne pas se supplémenter sans analyse, et de considérer une approche globale incluant l’alimentation, le soutien hépatique et intestinal, ainsi qu’un choix de complément adapté. Les formules comme le Fer LERECA, enrichies en cofacteurs et probiotiques, peuvent constituer une solution pertinente dans une démarche individualisée.
FAQ – Tout savoir sur la ferritine
À partir de quel taux de ferritine faut-il s’inquiéter ?
On considère qu’un taux de ferritine inférieur à 30 ng/mL peut être préoccupant. En dessous de 15 ng/mL, la carence est souvent sévère. Un taux élevé (au-delà de 300 ng/mL chez l’homme, 200 ng/mL chez la femme) peut aussi être un signal d’alerte.
Peut-on avoir une ferritine basse sans être anémié ?
Oui. On parle de carence martiale sans anémie. Elle peut provoquer une fatigue chronique, des troubles cognitifs ou une chute de cheveux, même si le taux d’hémoglobine est normal.
Pourquoi le foie influence-t-il la ferritine ?
Le foie stocke le fer et produit l’hépcidine, qui contrôle l’absorption du fer au niveau intestinal. Un trouble hépatique peut donc fausser la régulation du fer et perturber la ferritine sérique.
L’intestin joue-t-il un rôle dans l’absorption du fer ?
Oui. L’absorption se fait dans le duodénum. Un microbiote perturbé, une inflammation intestinale ou un mauvais pH digestif peuvent limiter cette absorption, même en cas d’apports suffisants.
Quel fer est le mieux absorbé ?
Le fer associé à des cofacteurs comme la vitamine C, B9, cuivre et à des probiotiques est mieux assimilé. Le Fer LERECA offre cette synergie sans effet secondaire digestif courant comme la constipation.
Peut-on se supplémenter sans bilan sanguin ?
Non. Il est préférablede réaliser une prise de sang pour évaluer le taux de ferritine et éviter une surcharge en fer,
Article à visée informative – Ne remplace pas un avis médical. En cas de doute, parlez-en à votre professionnel de santé.
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